Moïse est un modèle de la façon de bien vieillir. Avec l’accroissement de la durée de vie humaine, bien vieillir est devenu un défi significatif et difficile pour nombre d’entre nous. Comment vieillir tout en restant jeune en même temps ?
George Vaillant, dans ses livres Aging Well (Bien vieillir) Triumphs of Experience (Les triomphes de l’expérience), identifie deux dimensions qui sont particulièrement pertinentes dans le cas de Moïse. La première est ce qu’il qualifie de “générativité”, le fait de prendre soin de la prochaine génération. La générativité est souvent marquée par le fait d’entreprendre de nouveaux projets, souvent volontaires, ou en apprenant de nouvelles compétences. Ses caractéristiques sont l’ouverture et l’attention portée à son prochain.
L’autre dimension importante est ce que Vaillant qualifie de “gardien du sens”. Il entend par là la sagesse qui vient avec l’âge. Être gardien du sens signifie transmettre les valeurs du passé à l’avenir. L’âge procure la réflexion et le détachement qui permettent de prendre du recul et de ne pas être emporté par les états d’âme du moment, la mode éphémère ou la folie de la masse. Nous avons besoin de cette sagesse-là, en particulier à une époque aussi frénétique que la nôtre dans laquelle d’énormes succès peuvent arriver à des personnes encore relativement jeunes.
Ce qui est frappant à propos du livre de Dévarim, qui se déroule intégralement dans le dernier mois de la vie de Moïse, est la manière dont il dépeint le dirigeant âgé mais toujours passionné et motivé, qui se tourne vers la double tâche de la générativité et de gardien du sens.
Cela aurait été facile pour lui de se retirer dans un monde intérieur de nostalgie, en rappelant les accomplissements d’une vie extraordinaire. Il aurait également pu ruminer ses échecs, en particulier le fait qu’il n’entrerait jamais physiquement sur la terre vers laquelle il avait passé quarante ans à diriger la nation. Moïse ne fit rien de cela. Lors de ses derniers jours, il tourna plutôt son attention vers la prochaine génération et endossa un nouveau rôle. Moïse n’était plus le libérateur et le législateur, il prit le rôle de la tâche pour laquelle il est devenu connu dans la tradition : Moché Rabbénou, “Moïse notre maître.” Ce fut, par certains aspects, son plus grand accomplissement.
Il dit aux jeunes israélites qui ils étaient, d'où ils venaient et quelle serait leur destinée. Il leur donna des lois, et il le fit d’une nouvelle manière. L’accent n’était plus sur la rencontre divine, comme ce fut le cas dans Vayikra, ou sur les sacrifices, comme ce fut le cas dans Bamidbar, mais plutôt sur les lois dans leur contexte social.
Il parla de justice, de prendre soin des pauvres, de la considération des employés et de l’amour envers l’étranger. Il établit les éléments fondamentaux de la loi juive de manière plus systématique que dans tout autre livre du Tanakh. Il leur parla de l’amour que D.ieu portait à leurs ancêtres, et les encouragea à rendre la pareille de tout leur cœur, de toute leur âme et de tous leurs moyens. Il renouvela l’alliance, en rappelant au peuple des bénédictions dont il jouirait s’il gardait foi en D.ieu, et des malédictions qui lui arriverait s’il ne le faisait pas. Il leur enseigna le grand cantique dans Ha’azinou, et donna aux tribus sa bénédiction sur son lit de mort.
Moïse nous a montré le sens de la générativité, laissant derrière un héritage qui lui survivrait, et la signification d’être un gardien du sens, faisant appel à toute sa sagesse pour réfléchir au passé et à l’avenir, en donnant aux jeunes le bénéfice de sa longue expérience. En faisant preuve d’exemple personnel, il nous a montré la signification de vieillir tout en restant jeune.
Connaissez-vous des gens “âgés” qui sont “jeunes” dans l’esprit ? Comment pensez-vous qu’ils conservent leur esprit si jeune ?
Comment pensez-vous que Moïse ait réussi à conserver sa passion jusqu’à son dernier jour ?
Comment sommes-nous influencés par les efforts de Moïse envers la générativité, et son rôle de gardien du sens aujourd’hui ?
Le passé, l’avenir et l’authenticité
Par Rabbi Leonard Matanky
Dans la paracha de cette semaine, Rabbi Sacks explique que Moïse nous enseigna l’importance de se soucier de la prochaine génération (générativité) et le fait de devenir un “gardien du sens” en transmettant les valeurs de la Torah. En grandissant, j’ai eu le privilège d’habiter dans le même immeuble que les parents de ma mère. Ils étaient des immigrants européens et faisaient partie du petit nombre de juifs à s’être intégrés dans la vie américaine tout en observant le Chabbat. Mon grand-père était un pilier de sa synagogue et ma grand-mère dirigeait son foyer, cuisinant de délicieux mets, comme des kreplach faits maison, du kugel (ou comme elle le prononçait, “kigal”) et des gâteaux.
En grandissant, chaque Chabbat matin, ma grand-mère nous amenait à la synagogue. Un jour, nous étions très en retard, et elle voulait arriver à une heure raisonnable, elle partit donc sans nous. Sur le chemin, un homme âgé, Mr. Schwartz, l’a vu et lui demanda où nous étions. Elle lui expliqua que nous étions en retard et qu’elle devait se rendre à la synagogue. Mr. Schwartz lui dit, “Mrs. Shiner, c’est plus important de les amener que d’être à l’heure.” Ma grand-mère a souvent répété ces paroles, et elle ne nous laissa plus jamais derrière, car c’était sa manière de nous enseigner notre responsabilité pour la prochaine génération.
Une deuxième histoire s’est produite auparavant, à l’occasion de ma bar-mitsva. Mon grand-père s’est assis avec moi pour prier avec lui. Mais à la différence de l’école, Il me faisait réciter mes prières à voix haute pour s’assurer que je les récitais correctement. C’était difficile, et cela me prenait beaucoup de temps. Et lorsque je commettais une erreur, il me réprimandait fermement mais avec amour, en disant la phrase en Yiddish “nisht ge'foumfit”, qui était sa manière à lui de me dire d’être précis mais de ne pas faire semblant. Bien que je sache que Moïse était le plus grand des dirigeants juifs, mes grands-parents furent pour moi ceux qui façonnèrent ma vie juive. Car ils m’ont enseigné qu’être juif, c’est se soucier du passé, de l’avenir et d’être authentique.
Qui est ton enseignant ? Vers qui vous tournez-vous lorsque vous considérez les paroles de Moïse, qui dit “ Interroge ton père, il te l'apprendra, tes vieillards, ils te le diront” ?
UN REGARD PLUS PROFOND
Rabbi Leonard Matanky partage ses propres réflexions sur l’essai de Rabbi Sacks sur Dévarim.
Quelle est votre citation favorite de Rabbi Sacks et pourquoi ?
Ma citation favorite de cette semaine est l’explication de Rabbi Sacks sur la description de Moïse par la Torah :
À la toute fin du livre, nous lisons qu’à l’âge de 120 ans, le regard de Moïse “ne s'était point terni, et sa vigueur n'était point épuisée” (Deut. 34:7). Je pensais qu’il s’agissait de deux descriptions différentes, jusqu’à ce que je réalise que la première n’était qu’une explication de la deuxième. La vigueur de de Moïse n’était point épuisée parce que son regard ne s’éteint point terni, c’est-à-dire qu’il n’a jamais perdu l’idéalisme de sa jeunesse, sa passion pour la justice et pour les responsabilités de la liberté.
Ce qui est incroyable est que Rabbi Sacks offre une réinterprétation innovante de ces deux phrases, les transformant de deux idées séparées en interdépendantes. Et de plus, Rabbi Sacks renforce également l’adage selon lequel vous n’êtes âgé que si vous le ressentez ; et si nous pouvons rester enthousiastes et idéalistes, nous pouvons continuer d’accomplir de grandes choses.
Quelle idée exprimée dans l’article de cette semaine représente selon vous le message le plus important pour la prochaine génération ?
Tel que Rabbi Sacks le disait, nous devons nous rappeler que nous sommes un maillon dans la chaîne et une lettre dans le rouleau (du Séfer Torah). Ainsi, nous avons une obligation envers les générations passées et celles à venir. Cette obligation est celle dont Moïse a parlé lorsqu’il fit œuvre à la fois de “gardien de la foi”, transmettant les valeurs du passé, et de “dirigeant génératif”, guidant et dirigeant la prochaine génération. Nous faisons partie d’une grande et glorieuse nation, et parce que nous sommes sur les épaules de géants, nous pouvons accomplir de grandes choses !
Infos Torah
Q: Connaissez-vous d’autres noms pour le livre de Dévarim ?
Adapté de Torah IQ par David Woolf, une collection de 1500 devinettes sur la Torah, disponible dans le monde entier sur Amazon.
Guide éducatif
Infos Torah: la réponse de cette semaine
Le nom du Séfer Dévarim est issu du deuxième mot du premier passouk du livre. (voir Dévarim 1:1).
Il est également connu sous le nom de Michné Torah (Dévarim 17:18), qui signifie littéralement “la répétition de la Torah”, puisque Moïse passe la grande majorité du livre à redire au peuple de garder la Torah, et de raconter son histoire de vie, avant sa mort.
Il est appelé Deutéronome en français pour des raisons similaires.
Selon une opinion dans la Guémara (voir Avoda Zara 25a), il est également appelé Sefer HaYashar, le Livre des Justes, basé sur le passouk “Fais ce qui est juste (yashar) et agréable aux yeux du Seigneur” (Dévarim 6:18).
Written as an accompaniment to Rabbi Sacks’ weekly Covenant & Conversation essay, the
Family Edition
is aimed at connecting teenagers with his ideas and thoughts on the parsha.
Jusqu’à 120 ans : Prendre de l’âge et rester jeune
Family Edition
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Dévarim
Jusqu’à 120 ans : Prendre de l’âge et rester jeune
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La paracha en bref
Ce résumé est adapté de l’essai principal de cette semaine par Rabbi Sacks, disponible ici www.rabbisacks.org/covenant-conversation/devarim/jusqua-120-ans-prendre-de-lage-et-rester-jeune.
Moïse est un modèle de la façon de bien vieillir. Avec l’accroissement de la durée de vie humaine, bien vieillir est devenu un défi significatif et difficile pour nombre d’entre nous. Comment vieillir tout en restant jeune en même temps ?
George Vaillant, dans ses livres Aging Well (Bien vieillir) Triumphs of Experience (Les triomphes de l’expérience), identifie deux dimensions qui sont particulièrement pertinentes dans le cas de Moïse. La première est ce qu’il qualifie de “générativité”, le fait de prendre soin de la prochaine génération. La générativité est souvent marquée par le fait d’entreprendre de nouveaux projets, souvent volontaires, ou en apprenant de nouvelles compétences. Ses caractéristiques sont l’ouverture et l’attention portée à son prochain.
L’autre dimension importante est ce que Vaillant qualifie de “gardien du sens”. Il entend par là la sagesse qui vient avec l’âge. Être gardien du sens signifie transmettre les valeurs du passé à l’avenir. L’âge procure la réflexion et le détachement qui permettent de prendre du recul et de ne pas être emporté par les états d’âme du moment, la mode éphémère ou la folie de la masse. Nous avons besoin de cette sagesse-là, en particulier à une époque aussi frénétique que la nôtre dans laquelle d’énormes succès peuvent arriver à des personnes encore relativement jeunes.
Ce qui est frappant à propos du livre de Dévarim, qui se déroule intégralement dans le dernier mois de la vie de Moïse, est la manière dont il dépeint le dirigeant âgé mais toujours passionné et motivé, qui se tourne vers la double tâche de la générativité et de gardien du sens.
Cela aurait été facile pour lui de se retirer dans un monde intérieur de nostalgie, en rappelant les accomplissements d’une vie extraordinaire. Il aurait également pu ruminer ses échecs, en particulier le fait qu’il n’entrerait jamais physiquement sur la terre vers laquelle il avait passé quarante ans à diriger la nation. Moïse ne fit rien de cela. Lors de ses derniers jours, il tourna plutôt son attention vers la prochaine génération et endossa un nouveau rôle. Moïse n’était plus le libérateur et le législateur, il prit le rôle de la tâche pour laquelle il est devenu connu dans la tradition : Moché Rabbénou, “Moïse notre maître.” Ce fut, par certains aspects, son plus grand accomplissement.
Il dit aux jeunes israélites qui ils étaient, d'où ils venaient et quelle serait leur destinée. Il leur donna des lois, et il le fit d’une nouvelle manière. L’accent n’était plus sur la rencontre divine, comme ce fut le cas dans Vayikra, ou sur les sacrifices, comme ce fut le cas dans Bamidbar, mais plutôt sur les lois dans leur contexte social.
Il parla de justice, de prendre soin des pauvres, de la considération des employés et de l’amour envers l’étranger. Il établit les éléments fondamentaux de la loi juive de manière plus systématique que dans tout autre livre du Tanakh. Il leur parla de l’amour que D.ieu portait à leurs ancêtres, et les encouragea à rendre la pareille de tout leur cœur, de toute leur âme et de tous leurs moyens. Il renouvela l’alliance, en rappelant au peuple des bénédictions dont il jouirait s’il gardait foi en D.ieu, et des malédictions qui lui arriverait s’il ne le faisait pas. Il leur enseigna le grand cantique dans Ha’azinou, et donna aux tribus sa bénédiction sur son lit de mort.
Moïse nous a montré le sens de la générativité, laissant derrière un héritage qui lui survivrait, et la signification d’être un gardien du sens, faisant appel à toute sa sagesse pour réfléchir au passé et à l’avenir, en donnant aux jeunes le bénéfice de sa longue expérience. En faisant preuve d’exemple personnel, il nous a montré la signification de vieillir tout en restant jeune.
Le passé, l’avenir et l’authenticité
Par Rabbi Leonard Matanky
Dans la paracha de cette semaine, Rabbi Sacks explique que Moïse nous enseigna l’importance de se soucier de la prochaine génération (générativité) et le fait de devenir un “gardien du sens” en transmettant les valeurs de la Torah. En grandissant, j’ai eu le privilège d’habiter dans le même immeuble que les parents de ma mère. Ils étaient des immigrants européens et faisaient partie du petit nombre de juifs à s’être intégrés dans la vie américaine tout en observant le Chabbat. Mon grand-père était un pilier de sa synagogue et ma grand-mère dirigeait son foyer, cuisinant de délicieux mets, comme des kreplach faits maison, du kugel (ou comme elle le prononçait, “kigal”) et des gâteaux.
En grandissant, chaque Chabbat matin, ma grand-mère nous amenait à la synagogue. Un jour, nous étions très en retard, et elle voulait arriver à une heure raisonnable, elle partit donc sans nous. Sur le chemin, un homme âgé, Mr. Schwartz, l’a vu et lui demanda où nous étions. Elle lui expliqua que nous étions en retard et qu’elle devait se rendre à la synagogue. Mr. Schwartz lui dit, “Mrs. Shiner, c’est plus important de les amener que d’être à l’heure.” Ma grand-mère a souvent répété ces paroles, et elle ne nous laissa plus jamais derrière, car c’était sa manière de nous enseigner notre responsabilité pour la prochaine génération.
Une deuxième histoire s’est produite auparavant, à l’occasion de ma bar-mitsva. Mon grand-père s’est assis avec moi pour prier avec lui. Mais à la différence de l’école, Il me faisait réciter mes prières à voix haute pour s’assurer que je les récitais correctement. C’était difficile, et cela me prenait beaucoup de temps. Et lorsque je commettais une erreur, il me réprimandait fermement mais avec amour, en disant la phrase en Yiddish “nisht ge'foumfit”, qui était sa manière à lui de me dire d’être précis mais de ne pas faire semblant. Bien que je sache que Moïse était le plus grand des dirigeants juifs, mes grands-parents furent pour moi ceux qui façonnèrent ma vie juive. Car ils m’ont enseigné qu’être juif, c’est se soucier du passé, de l’avenir et d’être authentique.
Qui est ton enseignant ? Vers qui vous tournez-vous lorsque vous considérez les paroles de Moïse, qui dit “ Interroge ton père, il te l'apprendra, tes vieillards, ils te le diront” ?
UN REGARD PLUS PROFOND
Rabbi Leonard Matanky partage ses propres réflexions sur l’essai de Rabbi Sacks sur Dévarim.
Quelle est votre citation favorite de Rabbi Sacks et pourquoi ?
Ma citation favorite de cette semaine est l’explication de Rabbi Sacks sur la description de Moïse par la Torah :
À la toute fin du livre, nous lisons qu’à l’âge de 120 ans, le regard de Moïse “ne s'était point terni, et sa vigueur n'était point épuisée” (Deut. 34:7). Je pensais qu’il s’agissait de deux descriptions différentes, jusqu’à ce que je réalise que la première n’était qu’une explication de la deuxième. La vigueur de de Moïse n’était point épuisée parce que son regard ne s’éteint point terni, c’est-à-dire qu’il n’a jamais perdu l’idéalisme de sa jeunesse, sa passion pour la justice et pour les responsabilités de la liberté.
Ce qui est incroyable est que Rabbi Sacks offre une réinterprétation innovante de ces deux phrases, les transformant de deux idées séparées en interdépendantes. Et de plus, Rabbi Sacks renforce également l’adage selon lequel vous n’êtes âgé que si vous le ressentez ; et si nous pouvons rester enthousiastes et idéalistes, nous pouvons continuer d’accomplir de grandes choses.
Quelle idée exprimée dans l’article de cette semaine représente selon vous le message le plus important pour la prochaine génération ?
Tel que Rabbi Sacks le disait, nous devons nous rappeler que nous sommes un maillon dans la chaîne et une lettre dans le rouleau (du Séfer Torah). Ainsi, nous avons une obligation envers les générations passées et celles à venir. Cette obligation est celle dont Moïse a parlé lorsqu’il fit œuvre à la fois de “gardien de la foi”, transmettant les valeurs du passé, et de “dirigeant génératif”, guidant et dirigeant la prochaine génération. Nous faisons partie d’une grande et glorieuse nation, et parce que nous sommes sur les épaules de géants, nous pouvons accomplir de grandes choses !
Infos Torah
Q: Connaissez-vous d’autres noms pour le livre de Dévarim ?
Guide éducatif
Infos Torah: la réponse de cette semaine
Le nom du Séfer Dévarim est issu du deuxième mot du premier passouk du livre.
(voir Dévarim 1:1).
Il est également connu sous le nom de Michné Torah (Dévarim 17:18), qui signifie littéralement “la répétition de la Torah”, puisque Moïse passe la grande majorité du livre à redire au peuple de garder la Torah, et de raconter son histoire de vie, avant sa mort.
Il est appelé Deutéronome en français pour des raisons similaires.
Selon une opinion dans la Guémara (voir Avoda Zara 25a), il est également appelé Sefer HaYashar, le Livre des Justes, basé sur le passouk “Fais ce qui est juste (yashar) et agréable aux yeux du Seigneur” (Dévarim 6:18).
Written as an accompaniment to Rabbi Sacks’ weekly Covenant & Conversation essay, the Family Edition is aimed at connecting teenagers with his ideas and thoughts on the parsha.
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