Nous pouvons faire une différence et elle est potentiellement immense. Nous devrions toujours adopter cet état d’esprit.
Rares sont les déclarations davantage en contradiction avec ce que nous voyons du monde en règle générale. Chacun d’entre nous sait que nous sommes uniques, et qu’il y a actuellement plus de sept milliards de personnes dans le monde. Quelle différence envisageable pouvons-nous faire ? Nous ne sommes pas plus qu’une vague dans l’océan, un grain de sable au bord de la mer, de la poussière à la surface de l’infini. Est-il concevable qu’une action puisse changer la trajectoire de notre vie, à plus forte raison celle de l’humanité toute entière ? Notre paracha nous dit que oui, c’est possible!
Alors que l’histoire des enfants de Jacob suit son cours, une hausse soudaine des tensions entre eux s’apprête à dégénérer. Joseph, le onzième des douze, est le fils préféré de Jacob, ils le savaient et en éprouvaient du ressentiment. Ils lui jalousaient l'amour de leur père. Ils étaient agacés par les rêves de grandeur de Joseph. La vue de la tunique colorée que Jacob lui avait donnée en tant que symbole d’amour suscitait de la colère chez eux.
Puis l’opportunité est arrivée. Les frères étaient loin de la maison et s’occupaient du bétail lorsque Joseph est apparu au loin, envoyé par Jacob pour voir comment ils se portaient. Leur envie et leur colère ont atteint leur paroxysme, et ils se sont décidés à prendre une revanche violente.
Seul un des frères n’était pas d’accord : Ruben. Il savait que ce qu’ils proposaient était mauvais et il a protesté. À ce moment-là, la Torah fait quelque chose d’extraordinaire. Elle dit quelque chose qui ne peut être littéralement vrai, et nous qui lisons l’histoire le savons. Le texte dit “Ruben l'entendit et voulut le sauver de leurs mains” (Gen. 37:21).
Nous savons que cela ne peut être vrai à cause de ce qui arrive par la suite. Ruben, réalisant qu’il est seul face à eux, échafaude un plan. Il dit : N'attentons point à sa vie. Jetons-le dans une citerne et laissons-le mourir. Ainsi, nous ne serons pas directement coupables de meurtre Son intention était de revenir à la citerne plus tard, lorsque les autres furent partis, et ainsi sauver Joseph. Lorsque la Torah dit que Ruben a entendu cela et voulut le sauver de leurs mains, elle emploie le principe que “D.ieu compte une bonne intention comme une bonne action”. Ruben a voulu sauver Joseph et avait l’intention de le faire, mais il a échoué. Le moment est passé, et lorsqu’il a voulu agir, il était déjà trop tard. En revenant à la citerne, il a vu que Joseph n’était plus là, ayant été vendu comme esclave.
Si seulement Ruben avait su ce que l’on sait. Si seulement il avait pu lire les prochains chapitres de son histoire. Mais nous ne pouvons pas lire le livre qui raconte les conséquences à long terme de nos actions. Nous ne pouvons jamais savoir à quel point nous pouvons affecter la vie des autres.
Une seule vie, dit la Michna, est comme un univers. Changez une vie, et vous commencez à changer l’univers. C’est comme cela que l’on peut apporter une différence : une vie à la fois, un jour à la fois, un acte à la fois. Nous ne savons jamais à l’avance l’impact qu’une seule action peut avoir. Parfois même, nous ne le savons jamais. Nous pouvons faire une différence dans ce monde. Lorsque nous le faisons, nous devenons les partenaires de D.ieu dans l'œuvre de la rédemption, de sorte que le monde se rapproche un peu de ce qu’il devrait être.
Questions à poser à la table de Chabbath
Croyez-vous que nous devons avoir du mérite pour nos bonnes intentions même lorsque le résultat souhaité n’est pas atteint ?
Une petite action accomplie par une personne de votre entourage (ou un étranger) a-t-elle changé votre vie de manière significative?
Quelle action avez-vous fait cette semaine qui peut potentiellement changer la vie de quelqu’un d’une quelconque manière ? Que pouvez-vous faire la semaine prochaine ?
Enseigner à enseigner
par Ilana Epstein
Au printemps 2013, mon mari et moi étions candidats pour notre premier poste rabbinique. Ce fut Rabbi Sacks qui nous avait inspiré sur cette voie, et lorsque la communauté envisageait notre prise de poste (et nous les considérions), nous nous sommes tournés vers Rabbi Sacks pour recevoir des encouragements pour la suite.
Mon mari avait été formé pour devenir rabbin, mais moi je n’avais pas reçu de formation pour être rabbanite et je n’étais pas sûre de ce que je pouvais apporter à la communauté. Consciente de la nouvelle aventure et des nouvelles responsabilités, je ne me sentais pas équipée pour faire face aux défis à venir. Je me sentais nerveuse à l’idée de n’avoir aucune contribution à apporter, que ce soit en tant que rabbanite ou lors de notre rencontre avec Rabbi Sacks ; j’ai donc décidé de lire un livre “sérieux”, simplement pour me préparer.
Le jour de notre rendez-vous, alors que nous étions assis autour de la table bancale à Hamilton Terrace où le grand rabbin habitait, j’étais aussi nerveuse que je l’imaginais. Rabbi Sacks m’a demandé ce que je lisais, et j’avais une réponse dont j’étais fière. Plutôt que de se contenter de reconnaître le livre mentionné, Rabbi Sacks m’a demandé ce que j’en avais appris, et les enseignements que j’allais choisir d’en dispenser. À ce moment-là, il m’a permis d’être enseignante et de sentir que si je pouvais partager ce savoir avec Rabbi Sacks, je pourrais potentiellement le faire dans notre nouveau rôle également. Ce qui pour Rabbi Sacks pouvait sembler être un petit acte d’intérêt envers moi et mes idées m’a en fait ouvert un monde d'opportunités et d’accomplissements.
Rabbi Sacks ne fut pas uniquement un enseignant, il a aussi enseigné aux enseignants à bien faire leur travail. Son héritage permanent de bonté ne nous inspire pas uniquement par ses connaissances, mais nous encourage également à inspirer les autres.
Un Regard Plus Profond
Approfondir les idées partagées par Rabbi Sacks sur Vayechev. Ilana Epstein partage ses propres réflexions sur l’essai principal.
Qu’est-ce qui vous a inspiré lorsque vous avez lu “comment changer le monde ?”
Cette semaine, nous remarquons que Rabbi Sacks se concentre sur la manière dont les plus petites actions peuvent avoir des conséquences grandioses, positives et bouleversantes. Souvent, la personne qui procure de la bonté est totalement inconsciente de la dimension de l’impact de son acte. Dans la fameuse phrase adressée à Peter Parker (Spiderman), son oncle Ben dit : “Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.” Nous possédons deux visions de la Torah sur cette affirmation et chacune d’entre elles est très différente. Parfois, on nous enseigne que nous avons une puissance suprême. La Michna nous dit “le monde entier a été créé pour moi” (Sanhédrin 4:5) et donc effectivement, nous avons beaucoup de pouvoir et de responsabilités. Cependant, on nous rappelle qu’Avraham a déclaré qu’il n’est que “poussière et cendre” (Béréchit 18:27). L’humilité est importante, et si nous nous comparons au vaste univers et au D.ieu tout-puissant, nous réalisons à quel point nous sommes insignifiants. Il est alors d’autant plus incroyable qu’un petit acte de bonté de notre part puisse changer la vie à long terme.
“Le monde a été créé pour moi” et malgré cela, “je ne suis que poussière et cendre”. Comment ces deux affirmations peuvent-elles coexister ? Elles le peuvent par la responsabilité, en reconnaissant les conséquences de nos actions. Si nous réalisons d’un côté à quel point nous sommes petits, mais que nous reconnaissons d’un autre côté la force de nos actions, cela nous permet d’équilibrer à la fois notre petitesse, car en vérité nous ne sommes qu’une personne parmi des milliards, et notre grandeur, dans la mesure où chacune de nos actions peut influencer le monde entier. Nous ne connaîtrons jamais les répercussions de nos actions, mais elles contiennent le potentiel d’une immense puissance; nous devrions faire en sorte que ce soit de bonnes actions, remplies de ‘hessed.
Quelle est votre citation favorite dans l’essai de Rabbi Sacks de cette semaine?
“Nous ne sommes pas de petite envergure. Nous pouvons faire une différence dans ce monde. Lorsque c’est le cas, nous devenons les partenaires de D.ieu dans l'œuvre de la rédemption, de sorte que le monde se rapproche un peu de ce qu’il devrait être.”
J’aime beaucoup cette citation, car elle englobe la mission de chacun d’entre nous dans ce monde. Nous sommes dans ce monde à l’image de D.ieu qui nous a créés, un D.ieu d’amour, et notre tâche consiste à infuser cet amour dans toutes nos actions.
Infos Torah
Q: La Torah mentionne dix rêves qui figurent tous dans le livre de Béréchit. Combien pouvez-vous en nommer ?
Adapté de Torah IQ par David Woolf, une collection de 1500 devinettes sur la Torah, disponible dans le monde entier sur Amazon.
Guide éducatif
Infos Torah: la réponse de cette semaine
A:
1. La mise en garde d’Hachem à Avimelekh (Ber. 20:3)
2. Le rêve de Yaacov de l’échelle (Ber. 28:12)
3. Le rêve de Yaacov du troupeau (31:10)
4. La mise en garde d’Hachem à Lavan (Ber. 31:24)
5. Le rêve de Yossef de gerbes de blé (Ber. 37:7)
6. Le rêve de Yossef du soleil, de la lune et des onze étoiles (Ber. 37:9)
7. Le rêve du maître échanson (Ber. 40:9)
8. Le rêve du boulanger (Ber. 40:16)
9. Le premier rêve de Pharaon (Ber. 41:1)
10. Le deuxième rêve de Pharaon (Ber. 41:5)
Written as an accompaniment to Rabbi Sacks’ weekly Covenant & Conversation essay, the
Family Edition
is aimed at connecting teenagers with his ideas and thoughts on the parsha.
Comment changer le monde
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Vayéchev
Comment changer le monde
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Vayechev
La paracha en bref
Ce résumé est adapté de l’essai principal de cette semaine par Rabbi Sacks, disponible ici: rabbisacks.org/covenant-conversation/vayeshev/how-to-change-the-world/
Nous pouvons faire une différence et elle est potentiellement immense. Nous devrions toujours adopter cet état d’esprit.
Rares sont les déclarations davantage en contradiction avec ce que nous voyons du monde en règle générale. Chacun d’entre nous sait que nous sommes uniques, et qu’il y a actuellement plus de sept milliards de personnes dans le monde. Quelle différence envisageable pouvons-nous
faire ? Nous ne sommes pas plus qu’une vague dans l’océan, un grain de sable au bord de la mer, de la poussière à la surface de l’infini. Est-il concevable qu’une action puisse changer la trajectoire de notre vie, à plus forte raison celle de l’humanité toute entière ? Notre paracha nous dit que oui, c’est possible!
Alors que l’histoire des enfants de Jacob suit son cours, une hausse soudaine des tensions entre eux s’apprête à dégénérer. Joseph, le onzième des douze, est le fils préféré de Jacob, ils le savaient et en éprouvaient du ressentiment. Ils lui jalousaient l'amour de leur père. Ils étaient agacés par les rêves de grandeur de Joseph. La vue de la tunique colorée que Jacob lui avait donnée en tant que symbole d’amour suscitait de la colère chez eux.
Puis l’opportunité est arrivée. Les frères étaient loin de la maison et s’occupaient du bétail lorsque Joseph est apparu au loin, envoyé par Jacob pour voir comment ils se portaient. Leur envie et leur colère ont atteint leur paroxysme, et ils se sont décidés à prendre une revanche violente.
Seul un des frères n’était pas d’accord : Ruben. Il savait que ce qu’ils proposaient était mauvais et il a protesté. À ce moment-là, la Torah fait quelque chose d’extraordinaire. Elle dit quelque chose qui ne peut être littéralement vrai, et nous qui lisons l’histoire le savons. Le texte dit “Ruben l'entendit et voulut le sauver de leurs mains” (Gen. 37:21).
Nous savons que cela ne peut être vrai à cause de ce qui arrive par la suite. Ruben, réalisant qu’il est seul face à eux, échafaude un plan. Il dit : N'attentons point à sa vie. Jetons-le dans une citerne et laissons-le mourir. Ainsi, nous ne serons pas directement coupables de meurtre Son intention était de revenir à la citerne plus tard, lorsque les autres furent partis, et ainsi sauver Joseph. Lorsque la Torah dit que Ruben a entendu cela et voulut le sauver de leurs mains, elle emploie le principe que “D.ieu compte une bonne intention comme une bonne action”. Ruben a voulu sauver Joseph et avait l’intention de le faire, mais il a échoué. Le moment est passé, et lorsqu’il a voulu agir, il était déjà trop tard. En revenant à la citerne, il a vu que Joseph n’était plus là, ayant été vendu comme esclave.
Si seulement Ruben avait su ce que l’on sait. Si seulement il avait pu lire les prochains chapitres de son histoire. Mais nous ne pouvons pas lire le livre qui raconte les conséquences à long terme de nos actions. Nous ne pouvons jamais savoir à quel point nous pouvons affecter la vie des autres.
Une seule vie, dit la Michna, est comme un univers. Changez une vie, et vous commencez à changer l’univers. C’est comme cela que l’on peut apporter une différence : une vie à la fois, un jour à la fois, un acte à la fois. Nous ne savons jamais à l’avance l’impact qu’une seule action peut avoir. Parfois même, nous ne le savons jamais. Nous pouvons faire une différence dans ce monde. Lorsque nous le faisons, nous devenons les partenaires de D.ieu dans l'œuvre de la rédemption, de sorte que le monde se rapproche un peu de ce qu’il devrait être.
Questions à poser à la table de Chabbath
Enseigner à enseigner
par Ilana Epstein
Au printemps 2013, mon mari et moi étions candidats pour notre premier poste rabbinique. Ce fut Rabbi Sacks qui nous avait inspiré sur cette voie, et lorsque la communauté envisageait notre prise de poste (et nous les considérions), nous nous sommes tournés vers Rabbi Sacks pour recevoir des encouragements pour la suite.
Mon mari avait été formé pour devenir rabbin, mais moi je n’avais pas reçu de formation pour être rabbanite et je n’étais pas sûre de ce que je pouvais apporter à la communauté. Consciente de la nouvelle aventure et des nouvelles responsabilités, je ne me sentais pas équipée pour faire face aux défis à venir. Je me sentais nerveuse à l’idée de n’avoir aucune contribution à apporter, que ce soit en tant que rabbanite ou lors de notre rencontre avec Rabbi Sacks ; j’ai donc décidé de lire un livre “sérieux”, simplement pour me préparer.
Le jour de notre rendez-vous, alors que nous étions assis autour de la table bancale à Hamilton Terrace où le grand rabbin habitait, j’étais aussi nerveuse que je l’imaginais. Rabbi Sacks m’a demandé ce que je lisais, et j’avais une réponse dont j’étais fière. Plutôt que de se contenter de reconnaître le livre mentionné, Rabbi Sacks m’a demandé ce que j’en avais appris, et les enseignements que j’allais choisir d’en dispenser. À ce moment-là, il m’a permis d’être enseignante et de sentir que si je pouvais partager ce savoir avec Rabbi Sacks, je pourrais potentiellement le faire dans notre nouveau rôle également. Ce qui pour Rabbi Sacks pouvait sembler être un petit acte d’intérêt envers moi et mes idées m’a en fait ouvert un monde d'opportunités et d’accomplissements.
Rabbi Sacks ne fut pas uniquement un enseignant, il a aussi enseigné aux enseignants à bien faire leur travail. Son héritage permanent de bonté ne nous inspire pas uniquement par ses connaissances, mais nous encourage également à inspirer les autres.
Un Regard Plus Profond
Approfondir les idées partagées par Rabbi Sacks sur Vayechev. Ilana Epstein partage ses propres réflexions sur l’essai principal.
Qu’est-ce qui vous a inspiré lorsque vous avez lu “comment changer le monde ?”
Cette semaine, nous remarquons que Rabbi Sacks se concentre sur la manière dont les plus petites actions peuvent avoir des conséquences grandioses, positives et bouleversantes. Souvent, la personne qui procure de la bonté est totalement inconsciente de la dimension de l’impact de son acte. Dans la fameuse phrase adressée à Peter Parker (Spiderman), son oncle Ben dit : “Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.” Nous possédons deux visions de la Torah sur cette affirmation et chacune d’entre elles est très différente. Parfois, on nous enseigne que nous avons une puissance suprême. La Michna nous dit “le monde entier a été créé pour moi” (Sanhédrin 4:5) et donc effectivement, nous avons beaucoup de pouvoir et de responsabilités. Cependant, on nous rappelle qu’Avraham a déclaré qu’il n’est que “poussière et cendre” (Béréchit 18:27). L’humilité est importante, et si nous nous comparons au vaste univers et au D.ieu tout-puissant, nous réalisons à quel point nous sommes insignifiants. Il est alors d’autant plus incroyable qu’un petit acte de bonté de notre part puisse changer la vie à long terme.
“Le monde a été créé pour moi” et malgré cela, “je ne suis que poussière et cendre”. Comment ces deux affirmations peuvent-elles coexister ? Elles le peuvent par la responsabilité, en reconnaissant les conséquences de nos actions. Si nous réalisons d’un côté à quel point nous sommes petits, mais que nous reconnaissons d’un autre côté la force de nos actions, cela nous permet d’équilibrer à la fois notre petitesse, car en vérité nous ne sommes qu’une personne parmi des milliards, et notre grandeur, dans la mesure où chacune de nos actions peut influencer le monde entier. Nous ne connaîtrons jamais les répercussions de nos actions, mais elles contiennent le potentiel d’une immense puissance; nous devrions faire en sorte que ce soit de bonnes actions, remplies de ‘hessed.
Quelle est votre citation favorite dans l’essai de Rabbi Sacks de cette semaine?
“Nous ne sommes pas de petite envergure. Nous pouvons faire une différence dans ce monde. Lorsque c’est le cas, nous devenons les partenaires de D.ieu dans l'œuvre de la rédemption, de sorte que le monde se rapproche un peu de ce qu’il devrait être.”
J’aime beaucoup cette citation, car elle englobe la mission de chacun d’entre nous dans ce monde. Nous sommes dans ce monde à l’image de D.ieu qui nous a créés, un D.ieu d’amour, et notre tâche consiste à infuser cet amour dans toutes nos actions.
Infos Torah
Q: La Torah mentionne dix rêves qui figurent tous dans le livre de Béréchit. Combien pouvez-vous en nommer ?
Guide éducatif
Infos Torah: la réponse de cette semaine
A:
1. La mise en garde d’Hachem à Avimelekh (Ber. 20:3)
2. Le rêve de Yaacov de l’échelle (Ber. 28:12)
3. Le rêve de Yaacov du troupeau (31:10)
4. La mise en garde d’Hachem à Lavan (Ber. 31:24)
5. Le rêve de Yossef de gerbes de blé (Ber. 37:7)
6. Le rêve de Yossef du soleil, de la lune et des onze étoiles (Ber. 37:9)
7. Le rêve du maître échanson (Ber. 40:9)
8. Le rêve du boulanger (Ber. 40:16)
9. Le premier rêve de Pharaon (Ber. 41:1)
10. Le deuxième rêve de Pharaon (Ber. 41:5)
Written as an accompaniment to Rabbi Sacks’ weekly Covenant & Conversation essay, the Family Edition is aimed at connecting teenagers with his ideas and thoughts on the parsha.